Les bienfaits du CBD
Le chanvre est une herbe vulnéraire (propice à la guérison) composée de 400 éléments chimiques aux nombreuses propriétés thérapeutiques, égrenant un long chapelet de recommandations médicales méconnues…
Cette plante, déjà citée en 2737 avant J.C., dans le “traité des plantes médicinales” écrit par l’empereur chinois Shen Nung, était à l’époque, directement appliquée sur les plaies et blessures.
Bien plus tard, en 1839, un médecin anglais réputé, William O’ Shaughnessy, déposait un rapport imposant à l’académie des science britanniques de Londres, en annonçant : “Le Chanvre indien a des propriétés analgésiques puissantes et constitue le remède antispasmodique le plus précieux qu’il soit.”
Ces dernières années, le potentiel thérapeutique du CBD a suscité un intérêt croissant. Contrairement au THC, le cannabidiol n’est pas psychoactif, et même des doses élevées ne provoquent généralement pas d’effets secondaires.
L’utilisation médicale du CBD.
Le chanvre, très utilisé de par le passé, est un remède naturel efficace, pour soulager ou traiter bon nombre de maladies :
- Épilepsie
- Troubles anxieux
- Dépression
- Psychose schizophrénique
- Inflammations
- Douleurs
- Toxicomanie
- Nausées et vomissements
- Perte de l’appétit
sLe potentiel thérapeutique du CBD
On a ainsi découvert qu’il peut agir comme un antidépresseur rapide. Il soulage la douleur causée par une lésion nerveuse ou inflammatoire. Il a un effet antiépileptique et inhibe les nausées. Il a aussi un effet antibactérien contre certains germes dangereux avec une forte résistance aux antibiotiques et réduit le risque de développer le diabète (maladie du sucre). Certaines personnes souffrant du TDAH (troubles associés à l’hyperactivité) signalent que leurs symptômes ont été atténués par des extraits de CBD.
L’huile de CBD fait spécifiquement l’objet de nombreuses études médicales. Ce qui est génial pour le cannabidiol, c’est qu’il est extrêmement sûr. Une étude publiée par PubMed a révélé que le cannabidiol n’est pas toxique et est une cellule non transformée. Les études montrent également que cela ne modifie pas les fonctions psychomotrices ou psychologiques. De plus, une utilisation chronique et des doses élevées (jusqu’à 1500mg/jour) ont été facilement tolérées par les humains.
Généralement, le CBD est beaucoup plus accepté dans le domaine médical. C’est parce qu’il n’a pas les effets intoxicants du THC, qui peut devenir trop intense pour certaines personnes. Il est également jugé extrêmement sûr selon un certain nombre d’études. La recherche a montré que le CBD n’a pas d’effet négatif sur les cellules embryonnaires, les compétences motrices, la tension artérielle ou la fréquence cardiaque. Donc, bien que cela permette à beaucoup de gens de se réconforter, il y a peu de risque d’effets secondaires négatifs.
Dans de nombreux cas, trouver le ratio parfait de THC et de CBD dans la marijuana médicale offre le meilleur résultat. Par exemple, on pourrait avoir besoin des effets stimulants de l’appétit du THC, mais il faut aussi que leurs symptômes d’anxiété soient réduits avec du CBD.
ÉPILEPSIE
Le CBD a des proprietés antiépileptiques. Les extraits de CBD sont utilisés avec succès notamment dans certaines formes d’épilepsie d’origine génétique chez les enfants.
TROUBLES ANXIEUX ET STRESS POST-TRAUMATIQUE
Le CBD a un effet apaisant sur l’anxiété. Dans une étude clinique, on a demandé aux sujets de donner un discours devant une caméra vidéo. Ce dispositif expérimental augmente l’anxiété du sujet. Le CBD à une dose de 300 mg a été comparé avec l’Ipsapiron (5 mg) et le Diazépom (10 mg), deux anxiolytiques. Les résultats ont montré que le CBD, et les deux autres substances ont diminué l’anxiété causée par le dispositif expérimental. Dans cette dose, le CBD n’a pas eu d’effet sédatif significatif.
Le CBD est très efficace pour réduire l’anxiété et améliorer le sommeil de personne souffrant de stress post-traumatique.
Le premier essai clinique contrôlé du CBD pour le traitement de la schizophrénie a été mené à l’université de Cologne chez 42 patients souffrant de schizophrénie aigue. Il a montré que le CBD permet de réduire significativement les symptômes psychopathologiques par rapport à l’état initial.
DÉPRESSION
Le CBD pourrait être un antidépresseur à action rapide.
Le corps humain possède en effet des récepteurs (CB1 et CB2) adaptés aux endocannabinoïdes (également appelé “ligands endogènes”) qui sont des cannabinoïdes fabriqués par notre propre organisme, ce qui n’est pas le cas, par exemple, pour l’alcool, qui génère parfois la “gueule de bois”, symptôme de destructions neuronales.
Le chanvre est un antidépresseur naturel qui remplacerait avantageusement le Témesta, le Séresta, les Benzodiazépines, les anxiolytiques, qui tous affectent l’humeur, la mémoire, l’appétit et les idées. Le chanvre a beaucoup moins d’effets secondaires le lendemain matin.
SOMMEIL
L’effet du CBD sur le sommeil peut être proportionnel à la dose, avec des doses plus faibles stimulantes et des doses élevées sédatives.
DOULEURS
Certains patients utilisent avec succès le CBD pour traiter la douleur. Il est facile d’expliquer que le cannabidiol peut combattre la douleur causée par l’inflammation, car c’est un agent anti-inflammatoire naturel.
NAUSÉES ET VOMISSEMENTS
Des preuves et des recherches fondamentales montrent que l’acide du CBD (ABC) peut potentiellement réduire les nausées et les vomissements de diverses origines.
DÉPENDANCE ET SEVRAGE
La recherche fondamentale indique un potentiel thérapeutique du CBD dépendamment du THC contre la nicotine, la cocaïne, les opiacés et les symptômes de sevrage correspondants.
DIMINUTION DE L'APPÉTIT ET SURPOIDS
On sait depuis longtemps que le CBD inhibe certains effets du THC, y compris une augmentation de l’appétit. Le CBD pourrait aider dans le traitement de l’obésité.
Des études démontrent que deux composés du chanvre appelés tétrahydrocannabivarine (THCV) et cannabidiol (CBD) font baisser favorablement le taux de graisse dans le foie ainsi que le cholestérol et protègent les cellules génératrices d’insuline, l’hormone qui régule le niveau de sucre dans le sang.
DIABÈTE
La recherche fondamentale suggère que le CBD peut être bénéfique dans le diabète (maladie du sucre) et peut prévenir des complications telles que des dommages aux vaisseaux sanguins.
MALADIE D'ALZHEIMER
Selon des chercheurs de l’université de la Sapienza à Rome, le CBD réduit l’inflammation cérébrale causée par la bêta-amyloïde.
Le CBD stimule également la formation de nouvelles cellules nerveuses dans l’hippocampe une région du cerveau importante pour la mémoire.
Depuis peu, on attribue une des causes de la maladie d’Alzheimer à l’usage banalisé et croissant des antidépresseurs ou autres médicaments inutiles et douteux.
ACNÉ ET MALADIE DE PEAU
La prolifération des cellules de la peau humaine est influencée par les cannabinoïdes (CBD) et le cannabigerol (CBG). Les scientifiques ont conclu que ceci suggère une utilisation possible comme un composant majeur dans le développement de nouveaux traitements pour les maladies de la peau.
Des recherches menées, montrent que le CBD a des effets anti-inflammatoires sur les sébocytes et réduit la production de sébum.
Recommandée pour les peaux sujettes aux rougeurs, à la couperose, à l’acné ou à l’eczéma, l’huile de chanvre optimise la microcirculation et décongestionne les traits gonflés ou boursouflés.
ACTIVITÉ SPORTIVE
Le chanvre récréatif peut servir de “relaxant”, mais aussi de dopant, si l’on considère le grand nombre de champions olympiques ou mondiaux qui en apprécient l’usage :
Michael Phelps en natation, Jamie Anderson (médaille d’or 2014 à Sotchi à vélo slopestyle féminin), Ross Rebagliati (médaille d’or en snowboard à Nagano en 1998, testé positif au THC). Usain Bolt (héros du 100 m) a admis que dans sa jeunesse en Jamaïque, il avait occasionnellement fumé de la ganja.
Sébastien Loeb, sacré neuf fois champion du monde de rallye automobile, a même avoué en 2011, que c’était son “petit péché mignon”. Thomas Enge, ex-champion du monde automobile 2002 en Formule 3000 a affirmé que cela améliorait sa capacité à conduire un véhicule.
Le chanvre, procurerait-il chez certains sportifs, une sorte de “Vista”, une certaine souplesse du corps et de l’esprit ?